
Des posts aux connotations vertes et d'autres aux couleurs plus variées

6 janvier 2011
SEVERN, la voix de nos enfants

11 novembre 2009
22 avril 2009
PREVENTION MAISON

15 janvier 2009
THOR | COMMUNE SANS OGM

Selon les termes de la décision du tribunal, les juges ont considéré que l'arrêté municipal voté par la commune de Thor, d'interdire les cultures OGM sur son territoire, était acceptable en raison de « l'impact éventuel sur la santé publique et l'environnement des OGM dans une commune à vocation essentiellement agricole ». Jacques Olivier, élu Vert de Thor, par ailleurs Conseiller régional, avait expliqué l'importance de cet arrêté au regard des nombreux exploitants agricoles de sa commune qui travaillaient sous le label "bio".
Par ailleurs, la préfecture du Vaucluse a d'ores et déjà précisé qu'elle ne souhaitait pas faire appel de cette décision.
19 novembre 2008
HOMO TOXICUS | L'enquête
Synopsis : HOMO TOXICUS

Scénario et réalisation Carole Poliquin
Producteurs Carole Poliquin et Isaac Isitan
11 novembre 2008
MALES EN PERILS
Et si toutes ces observations avaient une origine commune ?
D'autres extraits vidéos ici
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POUR L'AMOUR DE L'EAU
Source : ARTE.fr
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29 octobre 2008
Mensonge publicitaire confirmé !
Cette condamnation fait suite à une plainte déposée en 2001 par l’association Eaux et Rivières de Bretagne ainsi que par Consommation, logement et cadre de vie (CLCV). Les deux associations estimant, sur la base d’un rapport de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) que le glyphosate, principe actif du Roundup, est un produit phytotoxique dangereux pour l’environnement.
Pour Jean-François Piquot, porte-parole d’Eaux et Rivières de Bretagne « ce jugement confirme ce que nous disons depuis dix ans : le monde de Monsanto c’est aussi celui de la publicité mensongère ! ». L’association espère que ce verdict, plus symbolique que dissuasif, sera entendu par le Ministère de l’Ecologie « qui prône la diminution des pesticides mais continue d’autoriser la publicité et la vente en grande surface de tels produits toxiques.» En 2001, le glyphosate a été réhomologué au niveau européen et est désormais classé « N-R51 : Dangereux pour l’environnement et toxique pour les organismes aquatiques. »
Source Sciences et Avenir
20/10/08 - Joël Ignasse
Voila qui clarifie la véritable nature du produit, un herbicide puissant et toxique, qui se dégrade lentement dans le sol :-(
16 octobre 2008
De plus en plus de pesticides dans nos assiettes
Voici un repas type, équilibré et sain en apparence. Malheureusement, il est contaminé par de multiples résidus invisibles de pesticides.
Plus de 23% de ces aliments végétaux contiennent parfois plusieurs résidus de pesticides, jusqu’à 8 différents ! Il y a également des résidus de pesticides dans l’eau que vous buvez, dans certains jus de fruits et dans les vins. On trouve même des résidus de pesticides dans les poissons (saumon, thon..), dans les fruits de mer (moules, huîtres…) et même parfois dans la viande de bœuf ou le lait !
Ce sont ainsi des dizaines de pesticides différents que vous ingérez chaque jour par votre alimentation et qui viennent contaminer votre corps.
Source : Pesticides non merci !
Légitimement 76% des français redoutent la présence de pesticides dans leurs aliments, il aujourd'hui plus qu'urgent de prendre des mesures afin de réduire l'usage des pesticides qui sont une menace pour la santé humaine et l'environnement. Le MDRGF recommande la consommation importante de fruits et légumes frais, afin de lutter contre certaines maladies telle que l'obésité, mais insiste particulièrement sur la nécessité de privilégier une consommation d'aliments sans résidus de pesticides (soit Bio)
5 octobre 2008
Les alicaments marketing !
Interview - Les effets des alicaments ne sont (toujours) pas prouvés scientifiquement
LCI.fr : Que reprochez-vous aux alicaments ?
Olivier Andrault, chargé de mission Alimentation à UFC-Que Choisir : Nous leur reprochons deux choses. Le fabricant doit constituer un dossier scientifique pour démontrer les bénéfices de son produit. Or, c'est le fabricant qui décide seul de la nature du dossier : il n'y a aucune exigence méthodologique ; il peut mettre en avant de simples études déclaratives qui n'ont aucune valeur scientifique ; il peut évoquer des études in vitro ou sur des animaux sans avoir testé son produit sur des êtres humains... Et les administrations auxquelles est transmis ce dossier n'en font qu'une simple relecture ; elles ne vérifient jamais son contenu.
Deuxième reproche : les experts français (Afssa) et européens (Aesa) valident les accroches marketing sans voir la publicité ni l'emballage. Or, la perception du consommateur est directement influencée par les aspects visuels, la taille des textes et leur positionnement sur le produit.
LCI.fr : Qu'attendez-vous concrètement des autorités ?
O. A. : Nous souhaitons que la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) et la Commission européenne de demander à l'Afssa et à l'Aesa de définir la liste des pièces scientifiques à transmettre dans le dossier, de définir une méthodologie et ce qui peut être un effet significatif du produit. Cela, afin que les agences puissent vérifier la réalité des résultats.
Concernant la communication des fabricants, nous demandons l'interdiction des allégations trop vagues, la définition de règles de communication publicitaires avec un équilibre dans la présentation entre la visibilité et la compréhension et, enfin, la vérification de la conformité de l'emballage et de la publicité avant leur utilisation par le fabricant.
LCI.fr : Les autorités sont-elles sensibilisées à cette question ?
O. A. : Ce n'est pas tellement à l'ordre du jour, c'est pourquoi nous tirons la sonnette d'alarme, d'autant la croissance des alicaments est de 8% par an contre 1 ou 2% pour l'ensemble du secteur agro-alimentaire. A l'étranger et en Europe, il y a des projets d'alicaments avec de fortes promesses en terme de santé. Nestlé et une filiale américaine de Danone travaillent chacun de leur côté à développer des alicaments censés prévenir la maladie d'Alzheimer. L'Oréal s'est associée à Coca-Cola et Nestlé pour commercialiser une boisson aux bénéfices cosmétiques. L'International life sciences institute, fondé par les industriels de l'agroalimentaire et du médicament, étudie l'intérêt de créer des alicaments pour améliorer la mémoire des enfants ou limiter le risque leur hyperactivité. Si ces produits sont commercialisés, le consommateur ne sera pas certain que ces promesses seront tenues.
LCI.fr : Les alicaments peuvent-ils être dangereux pour la santé ?
O. A. : Pour le moment, il n'existe aucun produit dont on a démontré le danger mais l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) avait bien précisé il y a deux ans que ce genre de produit ne pouvait pas remplacer un parcours de santé, avec consultation d'un médecin, modification de l'hygiène de vie, suivi médical...2 octobre 2008
Carvox, l'info santé en ligne

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Source : Agoravox