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6 janvier 2011

SEVERN, la voix de nos enfants

1992, au Sommet de la Terre à Rio de Janeiro, Severn SUZUKI prend la parole à l'âge de douze ans et interpelle les dirigeants du monde sur la situation écologique de la planète.


2009, le réalisateur Jean-Paul JAUD lui redonne la parole dans son long-métrage documentaire et illustre en alternance le discours de Severn et la situation actuelle, le tout sonorisé sur des morceaux musicaux du monde, dont un chant polyphonique corse superbement interprété :).


Mais que s'est-il passé 18 ans ans plus tard ? Quel monde laisserons-nous aux générations futures ? A vous de le découvrir.

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Au cours du débat organisé en partenariat avec l'AVERN au CinéCentre de Dreux, Jean-Paul JAUD a insisté sur le fait qu'il avait délibérement choisi de répondre de manière optimiste aux quelques désillusions de Severn en mettant en lumière des initiatives positives organisées aux quatre coins de la planète par des personnes volontaires.



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A l'occasion, je vous conseille également de visionner le film documentaire de Coline SERREAU "Solutions locales pour un désordre global" disponible en DVD. Ces deux supports sont complémentaires puisqu'ils soulignent mutuellement que "les choix individuels" de chacun sont et resteront l'unique remède aux problèmes environnementaux actuels et ultérieurs.

Car pour que le monde change, il faut changer soi-même.
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22 avril 2009

PREVENTION MAISON

Le ministère de la santé et l'Institut national de prévention et d'éducation à la santé (Inpes) propose un site internet dédié à la sensibilisation des français à la pollution de l'air intérieur.

Un guide de la pollution de l'air intérieur en ligne est accessible, permettant de renforcer les connaissances sur les gestes garants d'un air plus sain et de réduire les sources de pollution domestique.

Pour recevoir gratuitement ce guide, cliquez ici.




Site officiel : Prévention-maison.fr

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15 janvier 2009

THOR | COMMUNE SANS OGM

C'est une première en France qui pourrait donner des idées à beaucoup de maires. La justice vient de reconnaître le droit à une commune française de refuser toute culture d'OGM sur son territoire. Jacques Olivier, maire de la petite commune de Thor, a eu gain de cause. Le tribunal administratif de Nîmes vient de bousculer la jurisprudence en reconnaissant le droit à une collectivité de refuser la culture d'organismes génétiquement modifiés (OGM) sur ses terres. Jusqu'à présent régulièrement annulés, ces arrêtés municipaux pourraient bientôt se multiplier dans l'Hexagone.

Selon les termes de la décision du tribunal, les juges ont considéré que l'arrêté municipal voté par la commune de Thor, d'interdire les cultures OGM sur son territoire, était acceptable en raison de « l'impact éventuel sur la santé publique et l'environnement des OGM dans une commune à vocation essentiellement agricole ». Jacques Olivier, élu Vert de Thor, par ailleurs Conseiller régional, avait expliqué l'importance de cet arrêté au regard des nombreux exploitants agricoles de sa commune qui travaillaient sous le label "bio".

Une "victoire"

La décision du tribunal administratif de Nîmes de rejeter la demande de la préfecture du Vaucluse d'annuler la délibération municipale de Thor, devrait faire beaucoup de bruit chez les élus, les écologistes et inquiéter les semenciers engagés dans les OGM. L'association écologiste Greenpeace a déjà salué cette « victoire » remportée par la petite commune du Vaucluse, « qui pourrait désormais faire jurisprudence ».

Par ailleurs, la préfecture du Vaucluse a d'ores et déjà précisé qu'elle ne souhaitait pas faire appel de cette décision.

Source : Enviro2B


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19 novembre 2008

HOMO TOXICUS | L'enquête

Encore une sujet très proche de celui évoqué dans le documentaire "Nos enfants nous accuseront" de Jean-Paul JAUD...

Synopsis : HOMO TOXICUS


Une expérience planétaire est en cours et nous en sommes les cobayes.

Chaque jour, des tonnes de substances toxiques sont libérées dans l'environnement sans que nous en connaissions les effets à long terme pour les êtres vivants. Certaines d'entre elles s'infiltrent à notre insu dans nos corps et dans celui de nos enfants. En même temps que notre patrimoine génétique, nous transmettons aujourd'hui à nos enfants notre patrimoine toxique.

Dans une enquête inédite, menée avec rigueur et humour à partir de ses propres analyses de sang, la réalisatrice explore les liens entre ces substances toxiques et l'augmentation de certains problèmes de santé comme les cancers, les problèmes de fertilité et l'hyperactivité. Les conclusions sont troublantes...


Scénario et réalisation Carole Poliquin

Producteurs Carole Poliquin et Isaac Isitan




11 novembre 2008

MALES EN PERILS

A visualiser sur ARTE le 25 novembre à 21h00




Féminisation de la nature d’un côté, diminution du nombre de spermatozoïdes chez l’homme de l’autre. Des événements bizarres et inquiétants entre lesquels personne, pendant longtemps, n’avait pensé ou osé établir un lien.

Et si toutes ces observations avaient une origine commune ?

C’est l’hypothèse audacieuse de nombreux scientifiques tant aux États-Unis qu’en Europe. Ils sont persuadés que certains facteurs environnementaux sont responsables de ces pathologies et de ces malformations. Au banc des accusés, de nombreuses molécules mises sur le marché par l’industrie chimique : PCB, DDT, retardateurs de flamme, phtalates, pesticides… Liste non exhaustive de composés chimiques qui agissent sur le système hormonal (on les désigne sous le terme un peu barbare de « perturbateurs endocriniens ») et qui provoqueraient ainsi une féminisation du monde… La gravité des faits rapportés impose que l’on s’y intéresse de très près car la fertilité, et donc l’avenir de l’humanité est en jeu… Si ces scientifiques ont raison, ce sont des pans entiers de notre mode de consommation qu’il faudra repenser. Un véritable défi face au puissant lobbying industriel, un débat qui se déplace sur le terrain politique.



D'autres extraits vidéos ici
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POUR L'AMOUR DE L'EAU

Documentaire à visualiser sur ARTE le 18 novembre à 21h00

Partout, la raréfaction de l'or bleu aiguise les appétits des multinationales (dont les sociétés Vivendi et Suez) pour s'emparer de l'eau au mépris de l'intérêt collectif. Un constat implacable, fruit d'une enquête planétaire de trois ans. 

Qu'en est-il de la préservation, des réserves naturelles et de la distribution de l'eau dans les années à venir ? Durant trois ans, des États-Unis à l'Afrique du Sud en passant par le Rajasthan et la Bolivie, Irena Salina a interrogé scientifiques, militants écologistes, porte-parole d'entreprises ou simples citoyens pour dresser un constat alarmant. L'eau représente désormais la troisième industrie mondiale après le pétrole et l'électricité, mais son caractère vital et sa raréfaction accélérée vont en faire, à court terme, la première ressource potentielle de profits à la surface du globe. Partout, y compris aux États-Unis, l'accès à l'eau potable est devenu problématique, et trente mille personnes meurent par jour dans le monde faute d'en bénéficier. Dans les bidonvilles des pays pauvres, la privatisation des réseaux, encouragée par la Banque mondiale - au profit notamment de deux multinationales françaises, Vivendi et Suez, et d'une britannique, Thames Water, les trois plus offensives en la matière - exclut un nombre croissant d'habitants, incapables de payer des factures qui ont augmenté brutalement. Et alors que l'"or bleu" excite de plus en plus ouvertement les convoitises, on découvre que le Conseil mondial de l'eau, créé officiellement pour arbitrer entre les intérêts contradictoires des États, des entreprises et des citoyens, est dirigé ouvertement par les représentants de Vivendi, Suez ou Veolia. Aux États-Unis, autre exemple, l'administration républicaine a refusé d'interdire le composant chimique nocif désormais proscrit en Europe, l'atrazine, que l'on retrouve, entre autres, dans l'eau du robinet. Quant à Nestlé et autres vendeurs d'eau en bouteille, ils se livrent à une compétition effrénée pour capter ce marché de plus en plus lucratif, quitte à saccager sources et rivières...

Source : ARTE.fr
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29 octobre 2008

Mensonge publicitaire confirmé !

La cour d’appel de Lyon a confirmé le verdict du tribunal de première instance condamnant la firme agro-alimentaire pour publicité mensongère à propos de son désherbant vedette, le Roundup.


Pour avoir présenté le Roundup comme « biodégradable » et «respectant l’environnement » l’ancien président de Monsanto Agriculture France ainsi que l’ex-président du conseil d’administration de Scotts France, société qui distribue le produit, ont été condamnés pour publicité mensongère et devront s’acquitter d’une amende de 15 000 euros chacun.

Cette condamnation fait suite à une plainte déposée en 2001 par l’association Eaux et Rivières de Bretagne ainsi que par Consommation, logement et cadre de vie (CLCV). Les deux associations estimant, sur la base d’un rapport de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) que le glyphosate, principe actif du Roundup, est un produit phytotoxique dangereux pour l’environnement.

Pour Jean-François Piquot, porte-parole d’Eaux et Rivières de Bretagne « ce jugement confirme ce que nous disons depuis dix ans : le monde de Monsanto c’est aussi celui de la publicité mensongère ! ». L’association espère que ce verdict, plus symbolique que dissuasif, sera entendu par le Ministère de l’Ecologie « qui prône la diminution des pesticides mais continue d’autoriser la publicité et la vente en grande surface de tels produits toxiques.» En 2001, le glyphosate a été réhomologué au niveau européen et est désormais classé « N-R51 : Dangereux pour l’environnement et toxique pour les organismes aquatiques. »

Source Sciences et Avenir
20/10/08 - Joël Ignasse


Voila qui clarifie la véritable nature du produit, un herbicide puissant et toxique, qui se dégrade lentement dans le sol :-(

16 octobre 2008

De plus en plus de pesticides dans nos assiettes

Plus de 50% des fruits, légumes et céréales consommés en France contiennent des résidus de pesticides. 7% des échantillons dépassant même les Limites Maximales en Résidus (limites officielles à ne pas dépasser). Découvrez quels sont les résidus qui contaminent nos aliments en utilisant le menu déroulant ici

Voici un repas type, équilibré et sain en apparence. Malheureusement, il est contaminé par de multiples résidus invisibles de pesticides.




Plus de 23% de ces aliments végétaux contiennent parfois plusieurs résidus de pesticides, jusqu’à 8 différents ! Il y a également des résidus de pesticides dans l’eau que vous buvez, dans certains jus de fruits et dans les vins. On trouve même des résidus de pesticides dans les poissons (saumon, thon..), dans les fruits de mer (moules, huîtres…) et même parfois dans la viande de bœuf ou le lait !


Ce sont ainsi des dizaines de pesticides différents que vous ingérez chaque jour par votre alimentation et qui viennent contaminer votre corps.


Source : Pesticides non merci !


Légitimement 76% des français redoutent la présence de pesticides dans leurs aliments, il aujourd'hui plus qu'urgent de prendre des mesures afin de réduire l'usage des pesticides qui sont une menace pour la santé humaine et l'environnement. Le MDRGF recommande la consommation importante de fruits et légumes frais, afin de lutter contre certaines maladies telle que l'obésité, mais insiste particulièrement sur la nécessité de privilégier une consommation d'aliments sans résidus de pesticides (soit Bio)

5 octobre 2008

Les alicaments marketing !

Interview - Les effets des alicaments ne sont (toujours) pas prouvés scientifiquement

LCI.fr : Que reprochez-vous aux alicaments ?

Olivier Andrault, chargé de mission Alimentation à UFC-Que Choisir : Nous leur reprochons deux choses. Le fabricant doit constituer un dossier scientifique pour démontrer les bénéfices de son produit. Or, c'est le fabricant qui décide seul de la nature du dossier : il n'y a aucune exigence méthodologique ; il peut mettre en avant de simples études déclaratives qui n'ont aucune valeur scientifique ; il peut évoquer des études in vitro ou sur des animaux sans avoir testé son produit sur des êtres humains... Et les administrations auxquelles est transmis ce dossier n'en font qu'une simple relecture ; elles ne vérifient jamais son contenu.
Deuxième reproche : les experts français (Afssa) et européens (Aesa) valident les accroches marketing sans voir la publicité ni l'emballage. Or, la perception du consommateur est directement influencée par les aspects visuels, la taille des textes et leur positionnement sur le produit.

LCI.fr : Qu'attendez-vous concrètement des autorités ?

O. A. : Nous souhaitons que la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) et la Commission européenne de demander à l'Afssa et à l'Aesa de définir la liste des pièces scientifiques à transmettre dans le dossier, de définir une méthodologie et ce qui peut être un effet significatif du produit. Cela, afin que les agences puissent vérifier la réalité des résultats.
Concernant la communication des fabricants, nous demandons l'interdiction des allégations trop vagues, la définition de règles de communication publicitaires avec un équilibre dans la présentation entre la visibilité et la compréhension et, enfin, la vérification de la conformité de l'emballage et de la publicité avant leur utilisation par le fabricant.

LCI.fr : Les autorités sont-elles sensibilisées à cette question ?

O. A. : Ce n'est pas tellement à l'ordre du jour, c'est pourquoi nous tirons la sonnette d'alarme, d'autant la croissance des alicaments est de 8% par an contre 1 ou 2% pour l'ensemble du secteur agro-alimentaire. A l'étranger et en Europe, il y a des projets d'alicaments avec de fortes promesses en terme de santé. Nestlé et une filiale américaine de Danone travaillent chacun de leur côté à développer des alicaments censés prévenir la maladie d'Alzheimer. L'Oréal s'est associée à Coca-Cola et Nestlé pour commercialiser une boisson aux bénéfices cosmétiques. L'International life sciences institute, fondé par les industriels de l'agroalimentaire et du médicament, étudie l'intérêt de créer des alicaments pour améliorer la mémoire des enfants ou limiter le risque leur hyperactivité. Si ces produits sont commercialisés, le consommateur ne sera pas certain que ces promesses seront tenues.

LCI.fr : Les alicaments peuvent-ils être dangereux pour la santé ?

O. A. : Pour le moment, il n'existe aucun produit dont on a démontré le danger mais l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) avait bien précisé il y a deux ans que ce genre de produit ne pouvait pas remplacer un parcours de santé, avec consultation d'un médecin, modification de l'hygiène de vie, suivi médical...

2 octobre 2008

Carvox, l'info santé en ligne

Après AgoraVox, SportVox et NaturaVox, découvrez CareVox, la première plate-forme participative dédiée à l’info santé au quotidien. Alors, besoin de conseils sur les allergies ?



Avec l’augmentation du nombre d’internautes discutant autour des thématiques de la santé, CareVox est devenu une évidence. Cette nouvelle plate-forme permet aux différents acteurs de la santé et du bien-être d’échanger des conseils et de l’info-santé en toute confiance.

Vous recherchez une information sur une maladie, une pathologie spécifique ? Vous souhaitez tester les médecines douces ? Vous vous interrogez sur la maladie d’Alzeihmer ? Vous désirez connaître l’actualité santé ?

La plate-forme CareVox mutualisera les expertises, les interrogations et les conseils des internautes, professionnels ou non. Cette plate-forme est la vôtre.

L’objectif du site est d’apporter aux internautes, bloggers, professionnels, experts ou néophytes, un lieu d’échange et d’information, gratuit, organisé autour de quatre thématiques :

  • Santé au quotidien : articles ou dossiers traitant de thèmes variés sur les maladies et pathologies diverses, la nutrition, les médecines douces, les médicaments et la vaccination.
  • Beauté & bien-être : la beauté, la forme, le bien-être, la psychologie, la sexualité et la parapharmacie y sont à l’ordre du jour.
  • Ma famille : articles traitant de problématiques spécifiques liées aux enfants, femmes, hommes ou seniors.
  • Visions actuelles : rubrique qui a pour but d’informer sur les actualités du domaine médical comme la recherche, les dernières tendances, mais aussi de laisser la parole aux professionnels sur leur vision de la médecine actuelle.

Sur CareVox, informez-vous et partagez des points de vue, des conseils et des astuces utiles ; et surfez sur des rubriques évoluant au rythme de l’actualité santé.

CareVox en bref c’est :

  • Une plate-forme participative : le contenu est généré par les internautes. Ce contenu peut aussi bien être du texte, de l’image, du son ou de la vidéo.
  • La fiabilité de l’information : les articles sont sélectionnés et rédigés par des personnes expertes dans leur domaine. Un comité de rédaction rassemblant des professionnels sélectionne les articles qui sont publiés.
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  • Des contenus variés : CareVox couvre toutes les thématiques de la santé et du bien-être au quotidien, avec de nouveaux articles chaque jour en phase avec l’actualité. Au sein de chaque thématique, les internautes peuvent découvrir des articles, des témoignages, des sondages, des dossiers approfondis, des vidéos, etc.
  • L’interactivité : des chats seront régulièrement organisés, permettant aux internautes de poser directement leurs questions aux professionnels. Besoin de conseils sur les allergies ?
  • L’opportunité d’apprendre et de partager des informations parfois méconnues en matière de santé et de les mettre en perspective grâce à des opinions différentes.
  • Des dossiers thématiques réguliers fait en collaboration avec des professionnels. Comment se protéger du soleil ? Ou quelle est la psychologie du couple avant l’été ?

Avec CareVox, apprenons et partageons l’info-santé !

Source : Agoravox